
Nicolas
Administrateur
Membre du Staff
Rupture de jeûne diplomatique au Maroc entre le premier ministre espagnol et le Roi du Maroc.
Après la presque rupture des relations diplomatiques il y a un an à cause du différend qui les oppose sur le Sahara occidental : depuis des décennies les indépendantistes sahraouis du Front Polisario, soutenus par l'Algérie, réclament un référendum d'autodétermination sous l'égide de l'ONU alors que le royaume chérifien propose une autonomie mais sous sa souveraineté.
Dans le même temps l'Algérie, fournisseur de gaz à l'Espagne, a dénoncé le jeu dangereux ibérique dans la région qui risque de rajouter de la tension à celle qui est déjà largement palpable entre les deux pays du Maghreb.
L'Espagne qui avait fait vœu de neutralité à ce sujet, espère par sa prise de position normaliser les relations diplomatiques avec le Maroc pour notamment mieux travailler sur les questions d'immigrations et mettre en sourdine les revendications marocaines sur les enclaves de Ceuta et Melilla.
www.lemonde.fr
Après la presque rupture des relations diplomatiques il y a un an à cause du différend qui les oppose sur le Sahara occidental : depuis des décennies les indépendantistes sahraouis du Front Polisario, soutenus par l'Algérie, réclament un référendum d'autodétermination sous l'égide de l'ONU alors que le royaume chérifien propose une autonomie mais sous sa souveraineté.
Dans le même temps l'Algérie, fournisseur de gaz à l'Espagne, a dénoncé le jeu dangereux ibérique dans la région qui risque de rajouter de la tension à celle qui est déjà largement palpable entre les deux pays du Maghreb.
L'Espagne qui avait fait vœu de neutralité à ce sujet, espère par sa prise de position normaliser les relations diplomatiques avec le Maroc pour notamment mieux travailler sur les questions d'immigrations et mettre en sourdine les revendications marocaines sur les enclaves de Ceuta et Melilla.

Réconciliation « historique » à Rabat entre le Maroc et l’Espagne
Les deux pays étaient en froid depuis un an en raison d’un différend sur la question du Sahara occidental, mais la visite, jeudi, du premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, entérine un retour à la normale.
